I– Généralités sur la maladie de lyme et les co-infections
En première approche nous vous proposons la sélection d’articles et de vidéos suivante :
Articles :
- « La maladie de lyme errance médicale et exception thérapeutique » revue nexus n° 141 (juillet aout 2022). Article à lire absolument N° 141 (juillet-août 2022) (nexus.fr).

Extrait de l’excellent article de Kim-Anh Lim, journaliste et rédactrice en chef de Nexus :
« Trop de « médecins Lyme » et de patients sont dénigrés, niés pour les seconds, voire persécutés pour les deux. »
- 11 maladies transmises par les tiques que vous devez connaître cet été – L’Actu Santé (sante-actu.com); 2 extraits :
. « Les tiques sont connues pour transmettre la maladie de Lyme », mais saviez-vous que ces minuscules arachnides peuvent causer plus d’une douzaine d’autres maladies chez l’homme ? Avec l’augmentation des cas de Lyme et d’autres maladies transmises par les tiques au cours du dernier quart de siècle, la menace pour la santé publique est réelle. »
. « Comment les tiques infectent-elles les humains ? »
Anaplasmose, Babésiose, Maladie de Borrelia Miyamotoi, Fièvre à tiques du Colorado, Ehrlichiose, Maladie de Lyme, Maladie virale de Powassan, Fièvre pourprée des montagnes Rocheuses, Éruption cutanée associée aux tiques du sud (STARI), Fièvre récurrente transmise par les tiques (TBRF), Tularémie.

- sur “lyme”, le rapport 2020 Tick-borne Disease Working Group 2020 Report to Congress (hhs.gov) (La traduction automatique sur PC, tablette et Android).
- sur les « co-infections » les Rapports du groupe de travail sur les maladies transmises par les tiques (2018 – 2020) – Lyme Disease Association (La traduction est automatique suivant le paramétrage de vos PC, tablette et Android).
Vidéos

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- Extrait d’un interview de Willy Burgdorfer Ph D – YouTube du 8 déc. 2014. Willy Burgdorfer Ph D a découvert, ou même est « l’inventeur » de la bactérie responsable de la maladie de Lyme (appelée Borrelia Burgdorferi). Emouvant quand on sait la souffrance causée par cette maladie.
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- Maladie de Lyme et Covid-19 : les étranges similitudes 14 août 2022 – 13:32 par Emilien Lacombe (infodujour.fr).
« Ce sont deux maladies déroutantes par leurs symptômes non spécifiques. En cause : le SRA, ce système hormonal/physiologique que l’on retrouve partout dans le corps humain. » (../…) - Informations importantes du Dr Patterson (USA) sur les différents covids : aigu, long et post Vaccin : Cette vidéo expose des études en cours sur des tests et des traitements. L’interview permet de comprendre les mécanismes des pathologies des différents covid et au-delà les similitudes et différences avec Lyme, syndrome de fatigue chronique SFC, fibromyalgie (Fibro) etc…- réactivation Epstein -Barr Herpes varicelle zona ou le cancer, le VIH et d’autres pathologies inflammatoires systémiques.
Au centre, le système immunitaire est immunosupprimé mais de façons différentes et pourtant des symptômes sont bien similaires !!
Une partie du traitement est également similaire avec des compléments particuliers pour chacune des pathologies. De plus le traitement cible la cause racine et n’est pas uniquement délivré pour simplement pondérer les symptômes !
II – à lire et à diffuser :
Au constat que la médecine établie entrave la médecine qui cherche et trouve, voici quelques premières données acquises de la science. Nous serons amenés prochainement à diffuser prochainement via Lasamic des compléments de bibliographies :
Abstracts/ Résumés :
1- un marqueur spécifique et fiable du lyme chronique actif – -Le CCL19.
Un bio marqueur fiable de la maladie de Lyme dans sa forme chronique.
Publication de l’équipe du Pr Kathleen T. Bechtold
Clinical and vaccine immunology le 26 juin 2016
20% des patients traités par antibiothérapie développent des symptômes dont la physiopathologie est mal connue, de façon durable.
Il a été identifié une chemokine spécifique et commune aux symptômes post treatements persistants et aux épisodes aigus de la maladie de lyme dans sa forme typique.
Cette protéine CCL19 reflète une réaction persistante de l’activité inflammatoire des tissus lymphoïdes avant et après le traitement.
2-en ce qui concerne la fiabilité des tests de la forme spécifique du Lyme typique (Borrélia Burgdoféri sensu stricto)
Article du 21 décembre 2016 de l’équipe du Dr Olden
Méta-analyse de la fiabilité des tests :
L’incidence de la maladie de lyme, au Canada et aux Etats-Unis correspondant à l’expansion des tics de type Ixodes vecteurs de la maladie de Lyme (souche Borrélia burgdoferi sensu stricto) a mené à faire une évaluation de l’usage et de la validité des tests commerciaux.
Treize études portant sur les deux tests sérologiques en vigueur :
Test Elisa et western blott comparées aux diagnostics cliniques et 24 études portant sur un seul test comparé aux diagnostics cliniques, ont été analysées.
9 études ont porté sur des tests immuno-blott comparé à la clinique.
7 études portaient sur la détection directe du pathogène comparé à la clinique.
22 études portaient sur l’usage d’au moins deux tests ou plus comparés entre eux et 8 études ont comparé l’usage de deux tests avec un seul test.
Les études les plus récentes révélaient que la sensitivité et la spécificité de divers protocoles de tests était supérieure avec l’usage de deux tests, Elisa et western blott.
Le CDC d’Atlanta recommandait l’usage du western blott comme plus sensible et fiable dans les formes aigües ou tardives de la maladie.
Les tests PCR sur sang ou prélèvements tissulaires étaient moins sensibles que les tests western blott.
3-étude sur la fiabilité des tests concernant le Lyme chronique en rapport avec les différentes souches de Borréliose.
Application of Bayesian decision-making to laboratory testing for lyme diseases (étude bio-statistique de la fiabilité des tests pour le Lyme.) Cook MJ, Puri BK Int gen med oct 2017 :
Une analyse récente de la fiabilité des tests pour le diagnostic de la maladie de Lyme (contamination la plus fréquente par de multiples souches de borréliose), révèle que ceux-ci ne sont pas fiables comparativement à ceux réalisés pour le HIV.
Les tests HIV sont reconnus pour avoir une sensibilité voisine de 99%
Alors que des études récentes ont démontré le manque de sensibilité des tests destinés au diagnostic de la maladie de LYME.
Trois articles de 25 auteurs, portant sur plus de 70 études de sensibilité des kits diagnostiques du lyme révèlent que :
Lorsque les tests sont réalisés de façon précoce, après contamination, ils n’identifient que 20% des contaminations. (Avec des échantillons vérifiés comme étant positifs, seulement 59% se révélaient positif).
Il s’agit d’un problème essentiel puisque dans son stade précoce les symptômes de la maladie de Lyme ne sont pas spécifiques : fatigue, douleurs articulaires, douleurs musculaires, et si aucun traitement n’est donné par antibiothérapie, la forme multi-systémique disséminée dans le système nerveux central et d’autres parties de l’organisme, vont se manifester.
Malgré tout, cette étude démontre que les tests recommandés par les autorités médicales (CDC), en première intention, contrôlés par un second test présentaient une sensibilité de 25,1% et une absence de diagnostic de 74,9% (une marge d’erreur inadmissible).
En comparaison des tests HIV, il s’agit d’une marge d’erreur concluant à une fausse négativité de 170 à 560 fois plus importante.
Un test négatif ne veut donc pas dire que la maladie de Lyme n’est pas présente, qui si elle n’était traitée, pourrait engendrer des pathologies très sévères.
4- Persistance des Borrélioses malgré l’usage d’une monothérapie prolongée.
Janvier 2012 Plos one Mario T Philipp et coll.
Persistance de Borrélia burgdoferi chez les singes rhésus macaques après traitement antibiotique d’une durée supérieure à 6 mois (modèle primate, avec traitement par doxycicline ou ceftriaxone).
5- éradication des Borrélioses y compris des formes intracellulaires
Par traitements continus prolongé par trithérapie antibiotique sans interruption
plus d’info : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC5095124/
6-les meilleurs résultats thérapeutiques ont été obtenus sur les formes intra cellulaires (formes rondes ou bio films) par des traitements continus et prolongés de Daptomycine, doxycline et cefopérazone.
plus d’info : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4373819/
7-échec du traitement par doxycline et cefuroxime combinés, sur le traitement des formes persistantes de lyme(Borrélioses).
plus d’info : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/26903956/
8. études sur l’usage des traitements antiviraux, antifongiques, antibiotiques, de supplémentation alimentaire et de diète appropriées, dans les troubles du spectre autistique, chez les enfants.
Professeur Garth Nicholson
Institut de médecine Moléculaire.
9-Atteinte des fonctions mitochondriales (production d’énergie cellulaire) dans le syndrome de fatigue chronique.
Pr Garth L. Nicholson
plus d’info : https://ffhdj.com/index.php/ffhd/index
10- Lyme chronique ou persistant impliqué dans des neuroborrélioses tardives
Pr Miklossy open Neurol journal 2012.
11- études de cas de Sclérose en plaque en lien avec des Borrélioses
Université de Vienne, Lancet 17 janvier 1987.
12- évolution des sérologies de Borréliose dans des maladies neurologiques ont montré l’absence de corrélation avec les sérologies.
Lancet du 5/8/1989
13-Une étude des publications mettant en évidence la persistance de l’infection chronique par les Borrélioses malgré des traitements antibiotiques prolongés ou agressifs (bio films, formes enkystées) par de multiples subtilités d’échappement des spirochètes aux mécanismes classiques de défense par notre système immunitaire.
International journal of general medicine, 2013, Dr Keith Berndtson
14- Pr Judith Miklossy : une étude de la relation entre les infections chroniques par les spirochètes (Lyme et syphilis) dans la genèse des plaques amyloïdes et la maladie d’Alzheimer.
Miklossy J, et al. Journal neuroinflammation 2011.
15-Infiltration tissulaire par des cellules immunocompétentes de type Th17 lors des infections causées par Borrelli Burgdoferi, caractérisées par des inflammations articulaires.
Codolo G. et al, arthritis rheum 2008.
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